| Salva59 | Avec de l'humour on arrive a tout | Administrateur |  | 411 messages postés |
| Posté le 11-01-2004 à 18:29:05
| Axelle Red Sensualité Jamais je n'aurais pensé... "Tant besoin de lui" Je me sens si envoûtée Que ma maman me dit: ralentis Désir ou amour Tu le sauras un jour J'aime j'aime Tes yeux, j'aime ton odeur Tous tes gestes en douceur Lentement dirigés Sensualité Oh stop un instant J'aimerais que ce moment Fixe pour des tas d'années Ta sensualité Il parait qu'après quelques temps La passion s'affaiblit Pas toujours apparemment Et maman m'avait dit: ralentis Désir et amour tu le sauras un jour J'aime j'aime Tes yeux, j'aime ton odeur Tous tes gestes en douceur Lentement dirigés Sensualité Oh stop un instant J'aimerais que ce moment Fixe pour des tas d'années Ta sensualité Je te demande si simplement Ne fais pas semblant Je t'aimerai encore Et encore
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| Salva59 | Avec de l'humour on arrive a tout | Administrateur |  | 411 messages postés |
| Posté le 11-01-2004 à 18:29:40
| Axelle Red Parce que c'est toi Paroles et Musique: A.Red, D.Seff 1999 © 1999 - Editions Bimbo song Sonnerie Si tu crois un jour qu'je t'laisserai tomber Pour un détail pour une futilité N'aie pas peur je saurais bien Faire la différence Si tu crains un jour qu'je t'laisserai fâner La fin de l'été, un mauvais cap à passer N'aie pas peur personne d'autre n'pourrait Si facilement te remplacer Oh non pas toi Vraiment pas toi Parce que c'est toi le seul à qui je peux dire Qu'avec toi je n'ai plus peur de vieillir Parce que c'est toi Rien que pour ça Parce que j'avoue j'suis pas non plus tentée D'rester seule dans un monde insensé Si tu crois un jour q'tout est à refaire Qu'il faut changer; on était si bien naguère N'aie pas peur je n'veux pas tout compliquer Pourquoi s'fatiguer Et commence pas à te cacher pour moi Oh non, je te connais trop bien pour ça Je connais par cœur ton visage Tes désirs, ces endroits de ton corps Qui m'disent encore Parce que nous c'est fort Parce que c'est toi j'oserais tout affronter Et c'est toi à qui j'pourrais pardonner Parce que c'est toi Rien que pour ça Parce que c'est toi j'voudrais un jour un enfant Et non pas parce que c'est le moment Parce que c'est toi Je veux te voir dedans J'verrais dans ses yeux tous ces petits défauts Parce que parfait n'est plus mon créneau Parce que c'est toi Parce que c'est toi le seul à qui j'peux dire Qu'avec toi je n'ai plus peur de vieillir Parce que c'est toi Rien que pour ça Parce que j'avoue j'suis pas non plus tentée D'rester seule dans un monde insensé Parce que c'est toi
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| Salva59 | Avec de l'humour on arrive a tout | Administrateur |  | 411 messages postés |
| Posté le 11-01-2004 à 18:30:18
| Renaud & Axelle Red Manhattan Kaboul 2002 "Boucan d'enfer" Sonnerie - polyphonique Petit Portoricain, bien intégré quasiment New-yorkais Dans mon building tout de verre et d’acier, Je prends mon job, un rail de coke, un café, Petite fille Afghane, de l’autre côté de la terre, Jamais entendu parler de Manhattan, Mon quotidien c’est la misère et la guerre Deux étrangers au bout du monde, si différents Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant, Pulvérisés, sur l’autel, de la violence éternelle Un 747, s’est explosé dans mes fenêtres, Mon ciel si bleu est devenu orage, Lorsque les bombes ont rasé mon village Deux étrangers au bout du monde, si différents Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant, Pulvérisés, sur l’autel, de la violence éternelle So long, adieu mon rêve américain, Moi, plus jamais esclave des chiens Vite imposé l’islam des tyrans Ceux là ont-ils jamais lu le coran ? Suis redev’nu poussière, Je s’rai pas maître de l’univers, Ce pays que j’aimais tellement serait-il Finalement colosse aux pieds d’argile ? Les dieux, les religions, Les guerres de civilisation, Les armes, les drapeaux, les patries, les nations, Font toujours de nous de la chair à canon Deux étrangers au bout du monde, si différents Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant, Pulvérisés, sur l’autel, de la violence éternelle Deux étrangers au bout du monde, si différents Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant, Pulvérisés, sur l’autel, de la violence éternelle.
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