Sujet : Placer vos poemes ici | | Posté le 01-12-2003 à 10:46:43
| Décembre Le givre étincelant, sur les carreaux gelés, Dessine des milliers d'arabesques informes, Le fleuve roule au loin des banquises énormes, De fauves tourbillons passent échevelés. Sur la crête des monts par l'ouragan pelés, De gros nuages lourds heurtent leurs flancs difformes, Les sapins sont tout blancs de neige, et les vieux ormes Dressent dans le ciel gris leurs grands bras désolés. Des hivers boréaux tous les sombres ministres Montrent à l'horizon leurs figures sinistres, Le froid darde sur nous son aiguillon cruel. Evitons à tout prix ses farouches colères, Et, dans l'intimité, narguant les vents polaires, Réchauffons-nous autour de l'arbre de Noël.
Message édité le 13-12-2003 à 19:12:40 par Salva59 |
| | Posté le 01-12-2003 à 10:47:21
| Le bonhomme de neige Savez-vous qui est né Ce matin dans le pré? Un gros bonhomme tout blanc! Il est très souriant Avec son ventre rond Ses yeux noirs de charbon Son balai menacant Et son chapeau melon. Le soleil a brillé, À midi dans le pré, Je n'ai rien retrouvé... Le bonhomme a filé! |
| | Posté le 24-01-2004 à 20:49:38
| Le bonheur Le bonheur c'est quoi ? C'est me réveiller en pensant à toi, Et m'endormir en rêvant de toi. C'est t'attendre avec impatience, Et te voir partir trop vite. C'est rire à deux, Et de temps en temps pleurer seule. C'est me blottir tout contre toi, Et frémir sous tes caresses. C'est faire l'amour avec toi, Et te regarder sourire. C'est mon amour pour toi, Et le début d'une belle histoire. Le bonheur c'est quoi ? Pour moi le bonheur c'est toi. |
| | Posté le 01-02-2004 à 10:41:18
| Les préjugés Les préjugés sont ces mots blessants que l'on dit les yeux fermés. Fermés sur soi, pour ne pas se culpabiliser de ce que l'on est ou l'on n'est pas Les préjugés, on en a tous on en a tous la frousse Les préjugés, moi j'ai appris à les désarmorcer avec mon âme et ma féminité avec la force et cette intégrité de femme Les préjugés viennent de ces gens qui ont tellement le temps de regarder aux portes d'à côté Pendant que le vent leur fait tempête et que l'amour leur joue des tours. Les préjugés parfois agressent et souvent blessent et ceux qui les prodiguent, leur haine les guide à passer à côté d'une belle amitié. Les préjugés, on ne peut pas y échapper. Il y aura toujours des voix prêtes à crier ces étiquettes prêtes à coller au moindre faux pas, au moindre faux geste Les préjugés, moi je déteste Les préjugés, je les enfile sur un grand fil déguisés en beaux colliers certaines vont les acheter et quand elles les auront portés, sauront ce que sont les préjugés. |
| | Posté le 06-02-2004 à 21:50:28
| Quand la vie est une rivière, Chaque jour est un poisson. Quand la vie est une tête, Chaque jour est un cheveu. Quand la vie est une plume, Chaque jour est une lettre Quand la vie est un dessin, Chaque jour est une couleur. Quand la vie est un train, Chaque jour est un wagon. Quand la vie est un enfant , Chaque jour est une bêtise. Quand la vie est un ordinateur, Tout le monde est actif. Quand la vie est un cactus, Chaque jour est une épine. Quand la vie est un plumier, Chaque jour un crayon. Quand la vie est une poule , Chaque jour est un oeuf. Quand la vie est une fourmilière, Chaque jour une fourmi. Quand la vie est un sac d'école, Chaque jour est un cahier. Quand la vie est un oiseau, Chaque été des oeufs sont couvés. Quand la vie est un soleil, Chaque jour un rayon. Quand la vie est un coeur, Chaque jour est le bonheur. Quand la vie est un gâteau, Chaque jour est une tranche. Quand la vie est gaie, Chaque jour est une chanson. Quand la vie est un dictionnaire, Chaque jour est un mot. Quand la vie est une montre, Chaque jour est une seconde. Quand la vie est un crayon, Chaque jour est une couleur. Quand la vie est une mélodie, Chaque jour c'est le bonheur. Quand la vie est une plume, Chaque jour est de l'encre. |
| | Posté le 06-02-2004 à 22:07:56
| A Cathie mon Aimée A toutes les mamans Qui nous font de beaux enfants Vous le meres, vous les creatrices de vie, de joie et de malices Vous emplissez de nos vies de joie de bonheur et d'envie Nous les peres, nous les serviteurs de vos moindres envies et humeurs Nous sommes la pour votre bonheur Toujours pres a assouvir vos desirs Toujours la. Pret a toute heure En pleine nuit sous la pluie ou pire Mais le jour ou l'etre aimée: le bebe Sorti de votre ventre enfin apparait Nous sommes le temps d' un instant redevenu les bebes de nos mamans Vous nous cajolez Vous nous dorlotez Nous les enfants, les bebes Enfin nous, les etres aimés |
| | Posté le 12-02-2004 à 08:24:48
| CITATIONS D’AMOUR Pour les plaies du cœur les meilleurs pansements sont les sentiments Poèmes Sois la même... Ne change jamais, Pour mon seul plaisir Laisse-moi entre tes mains Savourer l’amour et ses désirs Oh mon amour, mon trésor Que ce que tu es, Soit mon seul réconfort Que ce qui sort de tes yeux, Demeure l’amour Oh toi que j’aime Sois la même Ne change jamais Que je n’ais à souffrir Ne pense à demain Laisse le bonheur me sourire Oh mon amour, mon trésor Ce que tu es, Est mon seul désir Que ce qui se lis dans ton cœur, Demeure le bonheur Oh toi que j’aime Sois la même Ne change jamais De peur que je peine Oh toi que j’aime Ne change jamais Que ce qui se lis sur ces lèvres Demeure l’amour Oh toi que j’aime Ne change jamais Ne change jamais Car je t’aime..,sois la même. |
| | Posté le 12-02-2004 à 08:26:10
| Oui je suis la raison M'inventer des chimères A t'en faire des misères Et de reproches A profusion, t'abreuver ... Au moindre regard Sur une autre femme Par moi posé, De jalousie crever ... Touchant de fragilité En sanglots éclater ... Pour d'emblée de rire Exploser. De mille coquineries , Vouloir te séduire Et affolant dans mes folies , Pour la vie , t'attacher à moi ... Etre de bijoux d'or parée , Toute douce et parfumée , Dans des frous frous de satin et de dentelles T'ensorceler ... Envie d'être aimé , toujours... Besoin de baisers doux et fous ... De mots, tendres et flatteurs ... De "je t'aime" pathétiques ... Saint, pour mes enfants ... A leurs yeux, je le suis. homme ...passionnément Entre tes bras, je deviens. Etre a toi, soumise, Jusqu'à l'indécence ... Prononcer des paroles Impudiques à outrance. |
| | Posté le 12-02-2004 à 17:20:07
| ouas bravo arco et salva cé bo xxxxxxxxxxxxxxxxxxx merci a vous je fretile la xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx |
| | Posté le 12-02-2004 à 18:13:49
| Si tu ne m’aimais pas, dis-moi, fille insensée, Que balbutiais-tu dans ces fatales nuits ? Exerçais-tu ta langue à railler ta pensée ? Que voulaient donc ces pleurs, cette gorge oppressée, Ces sanglots et ces cris ? Ah ! si le plaisir seul t’arrachait ces tendresses, Si ce n’était que lui qu’en ce triste moment Sur mes lèvres en feu tu couvrais de caresses Comme un unique amant ; Si l’esprit et les sens, les baisers et les larmes, Se tiennent par la main de ta bouche à ton coeur, Et s’il te faut ainsi, pour y trouver des charmes, Sur l’autel du plaisir profaner le bonheur : Ah ! Laurette ! ah ! Laurette, idole de ma vie, Si le sombre démon de tes nuits d’insomnie Sans ce masque de feu ne saurait faire un pas, Pourquoi l’évoquais-tu, si tu ne m’aimais pas ? Par Alfred de Musset |
| | Posté le 14-02-2004 à 21:28:21
| Tu te fermes à l'espoir Et refuses d'y croire. Pourquoi cette rancoeur Qui t'empêche au bonheur? Par ta haine, deviens seul, Par froideur, point d'accueil. La tendresse dit toujours Bienvenu soit l'amour. Je le dis doucement Loin de toi les tourments. Point de mal mon ami, Ouvre-toi à la vie. Je te donne mon sourire Et je t'offre mon dire. Simplement sans détour, Aie confiance en l'amour. Montre-moi ta bonté Et je saurai t'aimer. Donne-moi ta chaleur, Je t'ouvrirai mon coeur. Tu souris à ton tour Car enfin vient le jour T'apportant ce trésor, Qu'est l'amie au coeur d'or. |
| | Posté le 15-02-2004 à 03:58:10
| La chaussure Dès sa sortie de boite, elle est prête à marcher. Sur nos heureux conseils, écrase le plancher. Un peu dans le cirage, toujours trouve à briller. Le bon vieux coup de pompe, n'est pas autorisé. Elles vont toujours par deux, telles deux soeurs jumelles. Pour nous faire mieux aller, essaient de s'éviter, Ne peuvent se quitter, même d'une semelle. Toujours main dans la main, sans jamais s'en lasser (1). Pour peu que l'une glisse, sur le bitume hideux. Elle a pu perdre pied, dans la fiente surfé. C'est du pareil au même on ne se sent pas mieux Car toute la bâtisse risque de s'écrouler. Parfois leur vie s'active, elles veulent jouer. L'une passe devant, et puis l'autre à son tour. Car c'est ainsi de suite qu'elles vont continuer. Et moi, pendant ce temps, comme un idiot, je cours. C'est acte politique que d'entrer en chaussure. Il faut tendre la main pour y mettre le pied. La gauche est très adroite, la droite vraiment gauche. Ce sont deux vraies pointures, je le dis ça me sied. |
| | Posté le 21-02-2004 à 21:54:18
| Clair de lune Les orientales La lune était sereine et jouait sur les flots. La fenêtre enfin libre est ouverte à la brise, La sultane regarde, et la mer qui se brise, Là-bas, d’un flot d’argent brode les noirs îlots. De ses doigts en vibrant s’échappe la guitare. Elle écoute... Un bruit sourd frappe les sourds échos. Est-ce Un lourd vaisseau turc qui vient des eaux de Cos, Battant l’archipel grec de sa rame tartare ? Sont-ce des cormorans qui plongent tour à tour, Et coupent l’eau, qui roule en perles sur leur aile ? Est-ce un djinn qui là-haut siffle d’une voix grêle, Et jette dans la mer les créneaux de la tour ? Qui trouble ainsi les flots près du sérail des femmes ? Ni le noir cormoran, sur la vague bercé, Ni les pierres du mur, ni le bruit cadencé Du lourd vaisseau, rampant sur l’onde avec des rames. Ce sont des sacs pesants, d’où partent des sanglots. On verrait, en sondant la mer qui les promène, Se mouvoir dans leurs flancs comme une forme humaine... La lune était sereine et jouait sur les flots. |
| | Posté le 05-03-2004 à 23:41:59
| La sagesse Ô vous, qui passez comme l'ombre Par ce triste vallon des pleurs, Passagers sur ce globe sombre, Hommes! mes frères en douleurs, Ecoutez : voici vers Solime Un son de la harpe sublime Qui charmait l'écho du Thabor : Sion en frémit sous sa cendre, Et le vieux palmier croit entendre La voix du vieillard de Ségor! Insensé le mortel qui pense! Toute pensée est une erreur. Vivez, et mourez en silence; Car la parole est au Seigneur! Il sait pourquoi flottent les mondes; Il sait pourquoi coulent les ondes, Pourquoi les cieux pendent sur nous, Pourquoi le jour brille et s'efface, Pourquoi l'homme soupire et passe : Et vous, mortels, que savez-vous? Asseyez-vous près des fontaines, Tandis qu'agitant les rameaux, Du midi les tièdes haleines Font flotter l'ombre sur les eaux : Au doux murmure de leurs ondes Exprimez vos grappes fécondes Où rougit l'heureuse liqueur; Et de main en main sous vos treilles Passez-vous ces coupes vermeilles Pleines de l'ivresse du coeur. Ainsi qu'on choisit une rose Dans les guirlandes de Sârons, Choisissez une vierge éclose Parmi les lis de vos vallons! Enivrez-vous de son haleine; Ecartez ses tresses d'ébène, Goûtez les fruits de sa beauté. Vivez, aimez, c'est la sagesse : Hors le plaisir et la tendresse, Tout est mensonge et vanité! Comme un lis penché par la pluie Courbe ses rameaux éplorés, Si la main du Seigneur vous plie, Baissez votre tête, et pleurez. Une larme à ses pieds versée Luit plus que la perle enchâssée Dans son tabernacle immortel ; Et le coeur blessé qui soupire Rend un son plus doux que la lyre Sous les colonnes de l'autel! Les astres roulent en silence Sans savoir les routes des cieux; Le Jourdain vers l'abîme immense Poursuit son cours mystérieux; L'aquilon, d'une aile rapide, Sans savoir où l'instinct le guide, S'élance et court sur vos sillons; Les feuilles que l'hiver entasse, Sans savoir où le vent les chasse, Volent en pâles tourbillons! Et vous, pourquoi d'un soin stérile Empoisonner vos jours bornés? Le jour présent vaut mieux que mille Des siècles qui ne sont pas nés. Passez, passez, ombres légères, Allez où sont allés vos pères, Dormir auprès de vos aïeux. De ce lit où la mort sommeille, On dit qu'un jour elle s'éveille Comme l'aurore dans les cieux! |
| | Posté le 06-03-2004 à 14:56:53
| Quelle joie de te relire Pasca TABOR, ou THABOR Montagne fameuse dans la Judée; ce nom entre souvent dans le discours familier. Il est faux que cette montagne ait une lieue et demie d’élévation au-dessus de la plaine, comme le disent plusieurs dictionnaires; il n’y a point de montagne de cette hauteur. Le Tabor n’a pas plus de six cents pieds de haut; mais il paraît très élevé, parce qu’il est situé dans une vaste plaine. Le Tabor de Bohème est encore célèbre par la résistance de Ziska aux armées impériales; c’est de là qu’on a donné le nom de tabor aux retranchements faits avec des chariots. Les taborites, secte à peu près semblable à celle des hussites, prirent aussi leur nom de cette montagne. SEGOR La sainte Écriture parle de cinq villes englouties par le feu du ciel. La physique en cette occasion rend témoignage à l’Ancien Testament, quoiqu’il n’ait pas besoin d’elle, et qu’ils ne soient pas toujours d’accord. On a des exemples de tremblements de terre, accompagnés de coups de tonnerre, qui ont détruit des villes plus considérables que Sodome et Gomorrhe. Mais la rivière du Jourdain ayant nécessairement son embouchure dans ce lac sans issue, cette mer Morte, semblable à la mer Caspienne, doit avoir existé tant qu’il y a eu un Jourdain; donc ces cinq villes ne peuvent jamais avoir été à la place où est ce lac de Sodome. Aussi l’Écriture ne dit point du tout que ce terrain fut changé en un lac; elle dit tout le contraire: « Dieu fit pleuvoir du soufre et du feu venant du ciel; et Abraham se levant matin regarda Sodome et Gomorrhe et toute la terre d’alentour, et il ne vit que des cendres montant comme une fumée de fournaise(13). » Il faut donc que les cinq villes, Sodome, Gomorrhe, Séboin, Adama et Segor, fussent situées sur le bord de la mer Morte. On demandera comment, dans un désert aussi inhabitable qu’il l’est aujourd’hui, et où l’on ne trouve que quelques hordes de voleurs arabes, il pouvait y avoir cinq villes assez opulentes pour être plongées dans les délices, et même dans des plaisirs infâmes qui sont le dernier effet du raffinement de la débauche attachée à la richesse: on peut répondre que le pays alors était bien meilleur. |
| | Posté le 06-03-2004 à 23:26:34
| tt le plaisir pour moi salva ! Mon coeur est a toi Je t'ai donné mon coeur un dimanche soir, Depuis je n'ai cessé de penser a toi. Chaque nuit je rêve au jour ou je vais te revoir, Où enfin je pourrai t'embrasser, te serrer contre moi. Mon coeur bat au rythme de ta vie, Quand je te parle je ne peu l'empêcher de s'emballer, Quand tu vas mal il marche au ralentis, Il n'obéit qu'à toi, je ne peux plus le contrôler. Et quand j'entends ta douce voix Me dire « je t'aime » dans un murmure timide, Alors dans une vague de bonheur je me noie, Mes yeux se ferment, ma gorge se noue, mon corps se vide. Mon esprit est comme transporté, submergé, Il rejoint mon coeur dans ce pays merveilleux Où tu es l'ange gardien de mes pensées. Mon amour je n'ai jamais connu cela, je n'ai jamais été si heureux Que depuis que je t'ai donné mon coeur, un dimanche soir de février. |
| | Posté le 07-03-2004 à 21:00:04
| Un papillon blanc.- Il dansait autour de moi. Volage dans une douceur sans émoi. Il me suivait dans la serre sans prétention. Gracieux, libre de ses actions J'arrosais tout en le regardant d'un oeil furtif Ma curiosité de le voir si agité, si imaginatif Dans son envol pareil à une danse animée Me démontrant de ses petites ailes son agileté Il me suivait dans un rythme affolé, amical. J'étais surpris de ce contact surprenant et non banal. Je parcourais toujours la serre et me démontrait sa présence. Je souriais à la vie si infine, sans aucune défense. Soudain , je me retournai... et mon papillon était disparu Dans cet espace restreint. J'étais fort déçu! Je me dirigeai vers la sortie. Une ignoble araignée Avait emprisonné dans sa toile mon "ami" disparu. De ma main, je le délogeai et le voilà en liberté! Il dandinait devant moi sans se presser Puis par aprês, il s'éleva vers le ciel. |
| | Posté le 08-03-2004 à 11:02:20
| Parfois aussi l'araignée doit manger Souvent c'est au detriment des autres mais en fait ce n'est pas de sa faute Pôvre ariagnée, manger est une neccessite Tampis joli papillon, Pasca t'as delivré Mais une autre victime sera dans mes filets si n'est n'est pas toi mon repas Peut etre alors sera ce ton papa Pasca dans la vie et c'est ainsi tout le monde parfois doit servir a alimenter le cycle de la vie l'araignée, le papillon doit engloutir
Message édité le 08-03-2004 à 11:04:27 par Salva59 |
| | Posté le 08-03-2004 à 23:08:06
| nonnnnnnnnnnnnnn salva un papillon vit tres peu sauvons lui sa vie qui est si courte a ce merveilleux papillon,c si beau il ns apporte enchantement mais si ephemere |
| | Posté le 09-03-2004 à 13:25:34
| Je suis d'accord avec toi pasca Mais le cycle de la chaine alimentaire ne doit etre interrompu Alors on va donner un vilaine mouche A cette araignée |
| | Posté le 11-03-2004 à 09:16:13
| Eté Il fait bon le soleil caresse ma peau les oiseaux sifflent les nids débordent de petits la nature explose de lumière de couleurs les fleurs embaument J'aime cette saison la bonne humeur est partout les sourires apparaissent le stress s'éloigne Je suis bien allongé sur l'herbe douce la chaleur de l'air m'envahit Je regarde le ciel il ressemble à une aquarelle deux petits nuages ronds comme des moutons disparaissent presque dans ce bleu azur c'est beau je ferme les yeux et je pense que l'été ne devrait jamais se terminer oui salva tres vilaine mouche hihihi bise ! |
| | Posté le 23-03-2004 à 22:28:11
| La Rose Si... Si jolie est la rose dans les près, Si jolie est sa couleur, rouge sang, qu'elle n'en est pas venue seule ainsi. Est-ce la trace ? Est-ce la marque ? Est-ce un don ? Quoiqu'il en soit, son histoire est... et l'on ne pourrait s'en passer ! Si... Si un jour, on vous demande, pourquoi... Il vous faudra raconter cette histoire merveilleuse, au demeurant. N'y a-t-il pas plus beau symbole pour l'humanité, de lui rapeller à chaque instant: Si... Si la vie est un tourment, où chaque être a sa propre souffrance Il y a toujours au tournant, le soleil qui flambe toutes ses espérances. Pourquoi la rose se vêtit-elle de tant de magie ? Admirez-la donc, cette belle, qui sous le feu ainsi se vêtit ! Flambe sa couleur comme la joie, et, l'espoir qui surgit Comme une qualité à laquelle on s'attache, qui vous réjouie Alors... Vous oubliez que sous la fleur, se dresse la moindre épine Qui vous frappe, vous saigne, comme le bourdon qui vous taquine Alors... Comme une larme qui coule, un ruisseau dans son lit Comme un chant qui vous prend, un petit air de féerie Chaque goutte de votre sang qui se perd dans la nature Permet à la belle de se répandre comme un joli murmure Alors... Alors votre joie n'est pas près de se tarir Alors votre coeur est loin de désirer à pourrir. Car c'est toujours, au plus haut, au plus loin, Que le mirage se crée, et que notre chère réalité devient... |
| | Posté le 28-03-2004 à 10:34:15
| LA FILLE AU PIANO Je regarde s'agiter les touches du piano, Silence des accords aux subtils trémolo, Elle est là, seule devant la scène ; Noir cadeau d'un grand mécène. Piano tremblant que l'on accorde, Les marteaux tapent les cordes, Piano tremblant sous les accords, Mélodie s'enfuyant dans le corridor. La salle est vide de silence, Le piano emplit l'absence, Les doigts courent nerveusement, Ses yeux cherchent son amant. Noir cadeau d'un mécène, Passion chassant sa haine, Le piano pleure sur son malheur, Mélodie en forme de crève courte. Elle joue, cheveux tombants, Sur le clavier noir et blanc, Comme sa rue, comme sa vie, Elle au coeur meurtri, trahie. La salle est emplie de sa mélodie, Elle pleure, elle chante, ELLE CRIE ! Sa tête heurte les touches du piano, Sa vie fout le camp là ! Sur un trémolo. |
| | Posté le 28-03-2004 à 14:02:02
| Charles Baudelaire La musique souvent me prend comme une mer! Vers ma pâle étoile, Sous un plafond de brume ou dans un vaste éther, Je mets à la voile ; La poitrine en avant et les poumons gonflés Comme de la toile, J'escalade le dos des flots amoncelés Que la nuit me voile; Je sens vibrer en moi toutes les passions D'un vaisseau qui souffre ; Le bon vent, la tempête et ses convulsions Sur l'immense gouffre Me bercent. D'autres fois, calme plat, grand miroir De mon désespoir! |
| | Posté le 03-04-2004 à 10:46:14
| L'aile d'un ange Luisante, enduite d'amour et de subtilité Afin que la pluie, de notre chagrin, ruisselle et s'assèche Avant qu'elle ne devienne torrent de larmes En affaiblissant la lumière des joies passées. Blanche, qui à elle seule crée l'arc-en-ciel du paradis Gardant en mémoire ces riches coloris de la vie Sans jamais y garder malice et rancune Afin que légère elle puisse encore aimer. Forte, pour que d'un battement, elle puisse avancer Turbulences et contretemps ne peuvent l'arrêter Effaçant en vain ces tracas Avançant jour et nuit en regardant vers l'avant. Grande, esprit de compassion Guidant vers de nouvelles réflexions Changeant tabous primitifs et interdits Délivrant de nouvelles pensées Qui peut-être un jour deviendront normalités En attendant sa jumelle Qui avec elle pourra s'envoler En m'apprenant tant de choses Qui sans le savoir m'a permis d'acquérir plus de maturité Puiss-tu un jour acquérir ton âme soeur Cette aile qui te manque pour faire partie des leurs. Enfin, devenir un ange!! |
| | Posté le 03-04-2004 à 19:05:57
| Moi aussi un ange je veux devenir Le bien sur la terre je veux obtenir hommes et femmes je veux seduire Pour la terre que je veux embellir Voici des rimes en ir ceci pour mon plaisir ainsi mon desir fini je par assouvir La prochaine fois en oir Car tel est mon devoir de ne jamais decevoir les amateurs du soir |
| | Posté le 04-04-2004 à 11:20:23
| le printemps Phébus vient stimuler, d'un rayon de soleil, Vénus et Cupidon, à l'heure du réveil ; Galant, le bouton d'or séduit la pâquerette Qui arbore pour lui sa blanche collerette ; Et Saturne repeint son azur éclatant : C'est le printemps. Sous le tiède zéphyr, le coeur se réjouit ; Quand la jonquille d'or croît et s'épanouit, Le trèfle, plus discret, évite qu'on le cueille Et cache au promeneur sa quatrième feuille ; On respire avec joie un air ravigotant : C'est le printemps. Sur le chemin poudreux s'avance un petit vieux ; Il s'aventure seul en ce matin radieux, Rajeuni, il oublie aujourd'hui son arthrite, Son âge, ses douleurs, sa retraite d'ermite, Il sourit et revoit l'amour de ses vingt ans : C'est le printemps ! |
| | Posté le 17-04-2004 à 21:26:07
| Mon jardin secret Vous étiez mon silence Ma passion voilée, Un mystère, une romance À mon âme décimée; Je voulais vous taire Pour moi seul vous garder, Dans mon être solitaire Une flamme attisée. Je vous aimais en silence Dans ce cœur esseulé Je vivais d’espérance D’un amour présumé; Je trouvais dans mes nuits Le courage du lion Et vous murmurez sans bruit Le fruit de ma passion. Vous étiez pénitence À ce secret bien gardé, Mes regards d’impatience Cherchaient à vous rencontrer; Je comblais votre absence De désirs inavoués, Vous étiez délivrance À mes pensées enflammées. |
| | Posté le 19-04-2004 à 18:03:19
| Fleur Indigo L'humanité ressemble à une verte prairie où poussent des herbes de toutes sortes. Parmi ces herbes poussent de magnifiques fleurs multicolores qui viennent embellir le vert tapis de la vie. Depuis peu sont apparues de nouvelles petites fleurs. Il émane d'elles une douce lumière indigo. En me promenant, j'ai pris le temps de les observer. Elles sont très sensibles à leur environnement et réagissent instantanément aux éléments. Le soleil apparaît et les voilà qui s'ouvrent totalement à la lumière, offrant ainsi à la prairie toute leur beauté intérieur. Un nuage passe et les voilà qui se referment immédiatement dans leur silence sacré. Le vent, la pluie, la chaleur ou le froid, les fait rayonner de joie ou hurler d'effroi. J'ai entendu l'appel de l'une d'entre-elles et je me suis approché pour la regarder. C'est alors qu'elle s'est complètement ouverte et que j'ai ressenti son amour infini. Cette petite fleur s'est mise à me parler. - Je me sens seule ici, me dit-elle, je me demande ce que je fait au milieu de cette prairie et je me sens triste aussi, parce que j'ai tant à offrir et personne à qui donner. - Réjouis-toi et ne craint rien car en me promenant dans la prairie, j'ai eu l'occasion de voir d'autres petites fleurs qui te ressembles. Lèves toi un tout petit peu et regarde la-bas, tu vois il y en a une autre et derrière, par ici, encore une. Il y a de plus en plus de fleurs comme toi qui embellissent la prairie. Le printemps s'est levé sur la Terre et le souffle de la Vie va ensemencer toute la prairie. Le vent cosmique t'as déposée ici petite fleur afin que tu sois le lien entre le ciel et la terre. Tu n'as rien à faire d'autre que de rayonner ta douce lumière et lorsque ceux qui t'entourent se pencherons sur toi, alors la magie s'opérera. D'autres comme toi, viennent chaque jour enrichir la prairie d'une petite lueur indigo qui brille d'amour et de douceur. Cela me fait penser à un ciel d'une nuit d'été, un ciel tellement chargé d'étoiles qu'il nous connecte instantanément à l'infinie beauté de la Vie. L'éclat de la petite fleur s'est amplifié. Un parfum d'une douceur extrême m'envahit et à l'instant même je me sens unifié à la prairie et aux étoiles. - Merci petite fleur indigo, merci de venir offrir au monde tout l'amour des étoiles |
| | Posté le 23-04-2004 à 22:32:45
| . Cavalier de ma Licorne . Toi, cavalier de ma licorne tu es là derrière moi Toi, mon cavalier qui est là près de moi Tu sais très bien qui est ce cavalier Car sur notre licorne nous sommes liés Puisque ce cavalier c'est toi qui depuis de nombreuses nuits Parcours ces milliers d'étoiles parsemant la nuit Toi, cavalier de ma licorne tu es là derrière moi Toi, mon cavalier dont la présence est en moi Tes bras m'entourent de leur chaleur En eux, je deviens ta fleur Ma tête repose là au creux de ton épaule Et j'y demeure jusqu'à l'aube Toi, cavalier de ma licorne tu es là derrière moi Toi, mon cavalier qui est là près de moi Mes sourires te sont donnés Ils sont mes joies, mes bonheurs à toi je veux les donner Ta voix douce, roule à mon oreille Elle murmure ces doux mots sans pareils Cette voix roule et chante Comme j'aimerais croquer cette voix qui m'enchante . Toi, cavalier de ma licorne tu es là derrière moi Toi, mon cavalier qui est là près de moi Tu es moi Et je suis toi Tu es tout ce dont j'avais besoin Je n'ai à présent nul autre besoin . Toi, cavalier de ma licorne tu es là derrière moi Toi, mon cavalier qui est là près de moi Tu as fait de moi ta fleur Ne sens-tu pas les battements de mon coeur? À mon oreille, tu débute le récit de ta vie Et j'y sens poindre les soucis Les yeux fermés, j'en écoute le premier chapitre Et déjà une page est dite . Toi, cavalier de ma licorne tu es là derrière moi Toi, mon cavalier qui est là près de moi Partout je te cherchais Je ne savais ou tu te cachais Mon coeur bat, palpite à ta douce présence Tu étais en moi depuis ma tendre enfance . Toi, cavalier de ma licorne tu es là derrière moi Toi, mon cavalier qui est là près de moi Demeure toujours mon cavalier Que ces nuits, ces jours se renouvellent par milliers Pour qu'un jour, tu puisses être là avec moi Pour qu'un jour, je puisse être là avec toi |
| | Posté le 27-04-2004 à 22:46:26
| POURQUOI DIEU CRÉA LES AMIS... Dieu nous a créé avec amour, puis du paradis il nous a observé! Il a vu que nous avions tous besoins d'autres personnes compréhensives avec qui partager les jours heureux et aussi les jours tristes! Des personnes sur qui nous pouvions compter. Des personnes que nous pouvions appeler "AMIS" Les amis nous permettent à tous d'ouvrir notre coeur à l'amour! |
| | Posté le 10-05-2004 à 13:30:23
| Si j’étais arbre Je ne voudrais pas être de ces arbres utiles Qui ont trop affaire à l’homme, Ni pin, ni chêne, ni sapin, Sans pouvoir en sortir dans une forêt en désordre. J’accepterais d’être cerisier Pour que quelques oiseaux viennent manger mes cerises, Ou même un noisetier Pour que les enfants viennent manger mes noisettes. J’aimerais mieux être liquidambar Avec ses belles feuilles rouges et jaunes Ou un pommier avec de belles pommes |
| | Posté le 14-05-2004 à 19:16:41
| Un ami... Abécédaire de l'amitié Aime que vous lui disiez ce que vous ressentez Bénit le jour où vous êtes rencontrés Calme vos craintes Donne sans attendre en retour Est toujours prêt à donner un coup de main Fait une différence dans votre vie Garde ses amis dans son coeur Harmonise vos pensées quand elles se bousculent Invite ses amis à se connaître entre eux Jubile quand vous réussissez Klaxonne devant pour que vous passiez Lit cette liste et pense à vous Maximise vos qualités Ne juge jamais Offre son support Parle si on vous cache quelque chose Questionne vos certitudes Remonte votre moral Sait dire des choses sympas sur vous Téléphone juste pour dire "Comment ça va?" Utilise les mots justes au bon moment Vous accepte tel que vous êtes Week-end ou pas, il ne vous abandonne jamais Xtrêmement indulgent, il pardonne vos erreurs Y a-Qu'à, il ne connaît pas, il agit Zéro problème, il vous aime! |
| | Posté le 19-05-2004 à 17:53:34
| Merci pasca.Sache que malgre mes absences repetees sur le forum.Dieu me pardonne. Je serai toujours ton ami enfin si tu le veux bien.Actuellement j'ai enormement de boulot Samedi, Dimanche compris mais je ferai des incursions notament le 26 mai n'est pas pasca |
| | Posté le 20-05-2004 à 17:27:20
| ohhhhhhhhhh salva tu es trop gentil tu es mon ami et je le veux bien ! merciiiiiiiiiiiii t'inquiete pas salva on le c qu"on ne fait pas tjrs ce qu'on veut ds la vie ,mais tu vois je suis la qd mm hihihi !qu'est ce qui a le 26 salva hihihihi ,continu ta vie salva le virtuel bofffffffffffffff !bisessssssssssssssssss et ne t'inquiete pas ! |
| | Posté le 20-05-2004 à 17:32:00
| Reviens Vents et tornades Tempêtes et ouragans Description fidèle Du climat qui occupe mon coeur Depuis que tu y es passé Reviens mettre de l'ordre Reviens ranger mes idées Sur les tablettes Reviens passer le balai Pour faire disparaître la poussière Que ton passage a laissé comme trace Dans ma tête Reviens m'expliquer Pourquoi Comment Qui Quoi Quand Reviens pour me remettre à flot Pour me remettre sur les rails Pour que je puisse avancer Comme avant toi Toi Tu es passé dans ma vie Comme un troupeau de bêtes Dans un champ de fleurs Tout est détruit Reviens m'aider à tout semer Pour que tout s'épanouisse Pour que tout resplendisse Tu m'as pris ma vie Reviens pour me la rendre Remet tes yeux dans les miens Pour leur redonner de l'éclat Reviens pour me faire sourire J'ai oublié comment Reviens. |
| | Posté le 30-07-2004 à 16:00:55
| En forêt Dans la forêt étrange c'est la nuit ; C'est comme un noir silence qui bruit; Dans la forêt, ici blanche et là brune, En pleurs de lait filtre le clair de lune. Un vent d'été, qui souffle on ne sait d'où, Erre en rêvant comme une âme de fou, Et, sous des yeux d'étoile épanouie, La forêt chante avec un bruit de pluie. Parfois il vient des gémissements doux Des lointains bleus pleins d'oiseaux et de loups ; Il vient aussi des senteurs de repaires ; C'est l'heure froide où dorment les vipères, L'heure où l'amour s'épeure au fond du nid, Où s'élabore en secret l'aconit ; Où l'être qui garde une chère offense, Se sentant seul et loin des hommes, pense. - Pourtant la lune est bonne dans le ciel Qui verse, avec un sourire de miel, Son âme calme et ses pâleurs amies Au troupeau roux des roches endormies. |
| | Posté le 22-09-2004 à 13:23:54
| Au fond de toi Tu cherches au plus profond de ton être, Car tu ne veux surtout plus paraître, Tu veux retrouver la petite fille, Je suis sûre, celle qui a rie, Te voilà en quête de tes souvenirs, Je sais qu’ils vont doucement revenir, Je t’en prie, ferme vite tes yeux, Cueille l’instant qui peut être heureux, Qui es tu? voilà la réelle question, La réponse n’est pas dans l’horizon, Entre au plus profond de toi, Te souviens tu un peu d’autrefois ? La petite fille pointe son nez, Je te sens effectivement étonnée, Laisse s’ouvrir la porte de ta vie, écoute ce qui est vraiment enfoui, Les souvenirs ne sont pas douloureux, Dans ton cœur il y a un coin de ciel bleu, J’entends ton cœur qui cogne fort, Tel un bateau, tu reviens au port, De ton enfance, de l’adolescence, A ce vide non comblé, immense, Tu commences à entrevoir le jour, Dans ta vie, il y a de l’amour, Fais renaître la petite fille, Avec ses chagrins, ses soucis, Il risque d’y avoir des larmes, Celles qui tant désarment, Laisse les monter en surface, Ce ne sera qu’un face à face, En un éclair où deux, si tu le veux, Tu retrouveras, un souvenir heureux, Lâche enfin toute cette prise, De la vie avec son emprise, Là voilà, toi, la petite fille, Celle qui juste pour toi, te sourie. |
| | Posté le 21-11-2004 à 17:27:55
| Le Bonheur Il vient du ciel, il fait tourner la tête Il ne s'explique pas Nul au monde ne peut l'acheter Car il n'a pas de prix. Pour un roi, pour un prince Ou pour un vagabond Il est toujours le même Car il n'a pas de mesure Il est l'immensité.... Le bonheur ! C'est la joie de l'enfant qui reçoit un jouet Le doux regard de celle ou celui que tu aimes Une musique qui te saisit et te fait frissonner Ferme les yeux... Ton coeur palpite... C'est le bonheur ! Un mot gentil, une attention délicate, un sourire, ça te remue le coeur... c'est le bonheur ! Ne le cherche pas dans des rêves impossibles Ne le cherche pas dans des projets fabuleux. La vie est si belle ! la nature est si riche ! Le bonheur est là, dans la simplicité. Chacun sur cette terre a le droit de le posséder Chacun sur cette terre peut le fabriquer. Viens ! Viens ! Sans dire un mot ! Ouvre les yeux ! Avec un peu de coeur, avec un peu d'amour, Le bonheur est là... à ta portée. |
| | Posté le 17-01-2005 à 09:46:14
| Retrouvailles La poupée de chiffon câlinée sur la joue Par la menotte tendre aux petits plis dodus Une enfant dans la neige esquisse les stigmates Qui marquent le manteau aussi doux que la ouate. Ses traces se perdent derrière elle’ dans la nuit Dans les souvenirs flous, la démence et le bruit, Les wagons fétides à l’odeur de la peur Les crosses sanglantes des soldats du Führer. Au bords de ses lèvres se brisent les hoquets Des sanglots qui s’échouent comme flots sur un quai La cheminée au loin par des cendres de brume Glorifie les ténèbres, elle encense la lune. ….. Dans un parc en été deux enfants jouent au sable Leur mère est pensive, sur un banc, sous l’érable Et soudain le sang de son visage reflue Dans l’extrême tournis qui s’empare’ de sa vue. Accroupi devant elle un vieillard prit sa main Il baisa tendrement sa paume de satin Des larmes délivrées par leurs cœurs retrouvés Effacèrent les chiffres sur son bras tatoué. |
| | Posté le 17-01-2005 à 20:05:51
| Si tu veux croire encore Aux chemins sans détresses, Il faudra que tes ors Se raisonnenet sans cesse N’affuble point ton front De richesses amères Il n’est point de pardon Pour les flux éphémères Accepte le combat, Quelles que soient tes peines Qu’en chacun de tes pas Coulent des eaux sereines Tu te dois d’être toi En dépit des orages Face à ce monde en croix Trop vivant l’esclavage Même en l’adversité A genoux, en prière Rejoins la vérité Des chemins de lumière |
| | Posté le 20-01-2005 à 17:51:36
| c tres bo salva !merci et si vrai bisesssssssss |
| | Posté le 20-01-2005 à 20:34:01
| Écoutez la chanson bien douce Qui ne pleure que pour vous plaire. Elle est discrète, elle est légère : Un frisson d'eau sur de la mousse ! La voix vous fut connue (et chère ?) Mais à présent elle est voilée Comme une veuve désolée, Pourtant comme elle encore fière, Et dans les longs plis de son voile Qui palpite aux brises d'automne, Cache et montre au cœur qui s'étonne La vérité comme une étoile. Elle dit, la voix reconnue, Que la bonté c'est notre vie, Que de la haine et de l'envie Rien ne reste, la mort venue. Elle parle aussi de la gloire D’être simple sans plus attendre, Et de noces d’or et du tendre Bonheur d’une paix sans victoire. Accueillez la voix qui persiste Dans son naïf épithalame Allez, rien n'est meilleur à l'âme Que de faire une âme moins triste ! Elle est en peine et de passage L'âme qui souffre sans colère, Et comme sa morale est claire !... Écoutez la chanson bien sage. C'est tres beau mais malheureusement c'est pas de moi mais ce poeme me ressemble |
| | Posté le 21-01-2005 à 15:27:03
| qd tu poses un poeme mm si c pas de toi ! c qu'il ressort un morceau de toi , tu te vois dedans , tu ressens les mm choses et c comme si tu l'avais ecris pour toi ! bises et continue salva ! |
| | Posté le 23-01-2005 à 13:23:22
| BALLADE DES SAISONS Tournent les aiguilles de la pendule, passe, passe le temps. Passe le temps, comme les saisons, comme les couleurs du temps, temps passé, temps présent. Tournent les aiguilles de la pendule, passe, passe le temps, comme la jeunesse si proche et si lointaine aussi, comme les couleurs du printemps. Printemps de l'enfance, où tous les rêves sont permis. Où la couleur de l'espoir est partout, ce vert si tendre, si fort, si frais, et l'odeur du réveil de l'hiver qui éveille nos sens. Le gazouilli de l'eau qui coule doucement, le chant des oiseaux qui nous rappellent que maintenant des nouveaux jours arrivent, qu'une nouvelle vie commence, oui jeunesse si proche et si lointaine mais si pleine d'espoirs. Que de rire, que de joie, mais aussi de larme. Tournent les aiguilles de la pendue, passe, passe le temps Passe le temps comme les saisons, comme les couleurs du temps, temps passé, temps présent. Tournent les aiguilles de la pendule, passe, passe le temps, comme la jeunesse si proche et si lointaine aussi, comme les couleurs de l'été. Été de la jeunesse si pleine de vie, où nous croyons que nous sommes adultes. Alors plus rien ne peut nous arriver, jeunesse de l'amour, jeunesse si fragile mais belle, jeunesse couleur or, comme le soleil à son zénith, où les corps se cherchent, où tous les désirs se réveillent, où l'on croit que l'amour est éternel. Jeunesse de l'été si courte, si belle, jeunesse qui reste gravée dans notre mémoire à jamais. Comme le premier sourire du garçon assis à coté de soi, comme le premier baiser. Ho ! jeunesse si courte, si lointaine, mais si proche. Tournent les aiguilles de la pendule, passe, passe le temps. Passe le temps comme les saisons ; comme les couleurs du temps, temps passé, temps présent. Tournent les aiguilles de la pendule, passe, passe le temps comme la jeunesse si proche et si lointaine aussi, comme les couleurs de l'automne, automne de la vie. Les couleurs sont devenues plus chaudes, couleurs ocre et rouge, et une chaleur douce tombe sur nos épaules, sous nos pas craquent les châtaignes, une odeur douce monte de la terre. Un doux soleil nous réchauffe, sur nos pas un chien court devant nous, comme si le temps allez s'arrêter. Une image nous revient du passe, l'air d'une chanson, alors nous sourions. Tournent les aiguilles de la pendule, passe, passe le temps comme la jeunesse si proche , mais si lointaine Le blanc manteau de l'hiver a revêtu la campagne, le vent chante dans les arbres nus un chant mélancolique. Dans la maison une douce chaleur nous enveloppe, une odeur de café ainsi que de chocolat embaume la pièce ou nous sommes. Le chien à nos pieds nous regarde en soupirant, le chat près de la cheminée ronronne de bien être, comme nous sommes bien. Que de parcours ensemble, main dans la main, que de joies. La neige tombe, c'est l'hiver, je ferme les yeux... Non je regrette rien. Oh jeunesse frivole, jeunesse qui passe bien vite, je garde au fond de moi le sourire, le rire et le regard de ce garçon qui n'osait parler, il est dans ma mémoire, il est mon jardin secret, Passe le temps, passe les aiguilles de la pendule, comme les saisons, il aura d'autres printemps, d'autres étés, d'autres automnes et d'hiver, non je ne regrette rien, la main dans ses mains je suis bien, le feu chante dans la cheminée, le vent chante dans les arbres nus, Je souris. |
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