| Dernières réponses |   |   BALLADE DES SAISONS  Tournent les aiguilles de la pendule, passe, passe le temps.  Passe le temps, comme les saisons, comme les couleurs du temps,  temps passé, temps présent.  Tournent les aiguilles de la pendule, passe, passe le temps,  comme la jeunesse si proche et si lointaine aussi,  comme les couleurs du printemps.  Printemps de l'enfance, où tous les rêves sont permis.  Où la couleur de l'espoir est partout, ce vert si tendre, si fort, si frais,  et l'odeur du réveil de l'hiver qui éveille nos sens.  Le gazouilli de l'eau qui coule doucement,  le chant des oiseaux qui nous rappellent que maintenant  des nouveaux jours arrivent, qu'une nouvelle vie commence,  oui jeunesse si proche et si lointaine mais si pleine d'espoirs.  Que de rire, que de joie, mais aussi de larme.     Tournent les aiguilles de la pendue, passe, passe le temps  Passe le temps comme les saisons, comme les couleurs du temps,  temps passé, temps présent.  Tournent les aiguilles de la pendule, passe, passe le temps,  comme la jeunesse si proche et si lointaine aussi,  comme les couleurs de l'été.  Été de la jeunesse si pleine de vie,  où nous croyons que nous sommes adultes.  Alors plus rien ne peut nous arriver,  jeunesse de l'amour, jeunesse si fragile mais belle,  jeunesse couleur or, comme le soleil à son zénith,  où les corps se cherchent, où tous les désirs se réveillent,  où l'on croit que l'amour est éternel.  Jeunesse de l'été si courte, si belle,  jeunesse qui reste gravée dans notre mémoire à jamais.  Comme le premier sourire du garçon assis à coté de soi,  comme le premier baiser.  Ho ! jeunesse si courte, si lointaine, mais si proche.      Tournent les aiguilles de la pendule, passe, passe le temps.  Passe le temps comme les saisons ; comme les couleurs du temps,  temps passé, temps présent.  Tournent les aiguilles de la pendule, passe, passe le temps  comme la jeunesse si proche et si lointaine aussi,  comme les couleurs de l'automne,  automne de la vie.  Les couleurs sont devenues plus chaudes,  couleurs ocre et rouge, et une chaleur douce tombe sur nos épaules,  sous nos pas craquent les châtaignes,  une odeur douce monte de la terre.  Un doux soleil nous réchauffe,  sur nos pas un chien court devant nous,  comme si le temps allez s'arrêter.  Une image nous revient du passe, l'air d'une chanson,  alors nous sourions.     Tournent les aiguilles de la pendule, passe, passe le temps  comme la jeunesse si proche , mais si lointaine   Le blanc manteau de l'hiver a revêtu la campagne,  le vent chante dans les arbres nus un chant mélancolique.  Dans la maison une douce chaleur nous enveloppe,  une odeur de café ainsi que de chocolat embaume la pièce ou nous sommes.  Le chien à nos pieds nous regarde en soupirant,  le chat près de la cheminée ronronne de bien être,  comme nous sommes bien.  Que de parcours ensemble, main dans la main, que de joies.  La neige tombe, c'est l'hiver, je ferme les yeux...  Non je regrette rien.  Oh jeunesse frivole, jeunesse qui passe bien vite,  je garde au fond de moi le sourire,  le rire et le regard de ce garçon qui n'osait parler,  il est dans ma mémoire,  il est mon jardin secret,     Passe le temps, passe les aiguilles de la pendule,  comme les saisons, il aura d'autres printemps,  d'autres étés, d'autres automnes et d'hiver,  non je ne regrette rien,  la main dans ses mains je suis bien,  le feu chante dans la cheminée,  le vent chante dans les arbres nus,  Je souris.     |  
  |   |   qd tu poses un poeme mm si c pas de toi ! c qu'il ressort un morceau de toi , tu te vois dedans , tu ressens les mm choses et c comme si tu l'avais ecris pour toi ! bises et continue salva !     |  
  |   |   Écoutez la chanson bien douce  Qui ne pleure que pour vous plaire.  Elle est discrète, elle est légère :  Un frisson d'eau sur de la mousse !   La voix vous fut connue (et chère ?)  Mais à présent elle est voilée  Comme une veuve désolée,  Pourtant comme elle encore fière,   Et dans les longs plis de son voile  Qui palpite aux brises d'automne,  Cache et montre au cœur qui s'étonne  La vérité comme une étoile.   Elle dit, la voix reconnue,  Que la bonté c'est notre vie,  Que de la haine et de l'envie  Rien ne reste, la mort venue.   Elle parle aussi de la gloire  D’être simple sans plus attendre,  Et de noces d’or et du tendre  Bonheur d’une paix sans victoire.     Accueillez la voix qui persiste  Dans son naïf épithalame  Allez, rien n'est meilleur à l'âme  Que de faire une âme moins triste !   Elle est en peine et de passage  L'âme qui souffre sans colère,  Et comme sa morale est claire !...  Écoutez la chanson bien sage.       C'est tres beau mais malheureusement c'est pas de moi  mais ce poeme me ressemble     |  
  |   |   c tres bo salva !merci et si vrai bisesssssssss     |  
  |   |   Si tu veux croire encore  Aux chemins sans détresses,   Il faudra que tes ors  Se raisonnenet sans cesse    N’affuble point ton front  De richesses amères  Il n’est point de pardon  Pour les flux éphémères    Accepte le combat,   Quelles que soient tes peines  Qu’en chacun de tes pas  Coulent des eaux sereines    Tu te dois d’être toi  En dépit des orages  Face à ce monde en croix  Trop vivant l’esclavage    Même en l’adversité  A genoux, en prière  Rejoins la vérité  Des chemins de lumière     |  
  |   |   Retrouvailles    La poupée de chiffon câlinée sur la joue  Par la menotte tendre aux petits plis dodus  Une enfant dans la neige esquisse les stigmates  Qui marquent le manteau aussi doux que la ouate.    Ses traces se perdent derrière elle’ dans la nuit  Dans les souvenirs flous, la démence et le bruit,  Les wagons fétides à l’odeur de la peur  Les crosses sanglantes des soldats du Führer.    Au bords de ses lèvres se brisent les hoquets  Des sanglots qui s’échouent comme flots sur un quai  La cheminée au loin par des cendres de brume  Glorifie les ténèbres, elle encense la lune.    …..    Dans un parc en été deux enfants jouent au sable  Leur mère est pensive, sur un banc, sous l’érable  Et soudain le sang de son visage reflue  Dans l’extrême tournis qui s’empare’ de sa vue.    Accroupi devant elle un vieillard prit sa main  Il baisa tendrement sa paume de satin  Des larmes délivrées par leurs cœurs retrouvés  Effacèrent les chiffres sur son bras tatoué.     |  
  |   |   Le Bonheur                          Il vient du ciel, il fait tourner la tête    Il ne s'explique pas    Nul au monde ne peut l'acheter    Car il n'a pas de prix.         Pour un roi, pour un prince    Ou pour un vagabond    Il est toujours le même    Car il n'a pas de mesure    Il est l'immensité....         Le bonheur !    C'est la joie de l'enfant qui reçoit un jouet    Le doux regard de celle ou celui que tu aimes    Une musique qui te saisit et te fait frissonner    Ferme les yeux... Ton coeur palpite... C'est le bonheur !    Un mot gentil, une attention délicate, un sourire,    ça te remue le coeur... c'est le bonheur !    Ne le cherche pas dans des rêves impossibles    Ne le cherche pas dans des projets fabuleux.    La vie est si belle ! la nature est si riche !    Le bonheur est là, dans la simplicité.    Chacun sur cette terre a le droit de le posséder    Chacun sur cette terre peut le fabriquer.         Viens ! Viens ! Sans dire un mot ! Ouvre les yeux !    Avec un peu de coeur, avec un peu d'amour,    Le bonheur est là... à ta portée.     |  
  |   |   Au fond de toi      Tu cherches au plus profond de ton être,  Car tu ne veux surtout plus paraître,  Tu veux retrouver la petite fille,  Je suis sûre, celle qui a rie,  Te voilà en quête de tes souvenirs,  Je sais qu’ils vont doucement revenir,  Je t’en prie, ferme vite tes yeux,  Cueille l’instant qui peut être heureux,  Qui es tu? voilà la réelle question,  La réponse n’est pas dans l’horizon,  Entre au plus profond de toi,  Te souviens tu un peu d’autrefois ?  La petite fille pointe son nez,  Je te sens effectivement étonnée,  Laisse s’ouvrir la porte de ta vie,     écoute ce qui est vraiment enfoui,  Les souvenirs ne sont pas douloureux,  Dans ton cœur il y a un coin de ciel bleu,  J’entends ton cœur qui cogne fort,  Tel un bateau, tu reviens au port,  De ton enfance, de l’adolescence,  A ce vide non comblé, immense,  Tu commences à entrevoir le jour,  Dans ta vie, il y a de l’amour,  Fais renaître la petite fille,  Avec ses chagrins, ses soucis,  Il risque d’y avoir des larmes,  Celles qui tant désarment,  Laisse les monter en surface,  Ce ne sera qu’un face à face,  En un éclair où deux, si tu le veux,  Tu retrouveras, un souvenir heureux,  Lâche enfin toute cette prise,  De la vie avec son emprise,  Là voilà, toi, la petite fille,  Celle qui juste pour toi, te sourie.     |  
  |   |   En forêt         Dans la forêt étrange c'est la nuit ;   C'est comme un noir silence qui bruit;    Dans la forêt, ici blanche et là brune,   En pleurs de lait filtre le clair de lune.    Un vent d'été, qui souffle on ne sait d'où,   Erre en rêvant comme une âme de fou,    Et, sous des yeux d'étoile épanouie,   La forêt chante avec un bruit de pluie.    Parfois il vient des gémissements doux  Des lointains bleus pleins d'oiseaux et de loups ;    Il vient aussi des senteurs de repaires ;   C'est l'heure froide où dorment les vipères,    L'heure où l'amour s'épeure au fond du nid,   Où s'élabore en secret l'aconit ;    Où l'être qui garde une chère offense,  Se sentant seul et loin des hommes, pense.    - Pourtant la lune est bonne dans le ciel   Qui verse, avec un sourire de miel,    Son âme calme et ses pâleurs amies  Au troupeau roux des roches endormies.     |  
  |   |   Reviens    Vents et tornades  Tempêtes et ouragans  Description fidèle  Du climat qui occupe mon coeur  Depuis que tu y es passé  Reviens mettre de l'ordre  Reviens ranger mes idées  Sur les tablettes  Reviens passer le balai  Pour faire disparaître la poussière  Que ton passage a laissé comme trace  Dans ma tête  Reviens m'expliquer  Pourquoi  Comment  Qui  Quoi  Quand  Reviens pour me remettre à flot  Pour me remettre sur les rails  Pour que je puisse avancer  Comme avant toi  Toi  Tu es passé dans ma vie  Comme un troupeau de bêtes  Dans un champ de fleurs  Tout est détruit  Reviens m'aider à tout semer  Pour que tout s'épanouisse  Pour que tout resplendisse  Tu m'as pris ma vie  Reviens pour me la rendre  Remet tes yeux dans les miens  Pour leur redonner de l'éclat  Reviens pour me faire sourire  J'ai oublié comment  Reviens.     |  
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